Le Roi Lion en Live !
Si vous êtes nés à la fin des années 80 – début des années 90, vous faites sans doute partie de cette génération ayant fait sa toute première sortie au cinéma, en allant voir Le Roi Lion en 1994.
Au-delà de l’importance de cet événement pour le jeune enfant que vous étiez, l’histoire de Simba vous a aussi marqué pour d’autres raisons.
SYNOPSIS
Sur les Hautes Terres africaines, règne Mufasa dont la magnificence égale le respect et l’admiration des peuples de la jungle, fascinés par sa sagesse et sa générosité. Sa descendance, incarnée par Simba, lui succédera prochainement, comme l’établissent les préceptes du cycle de la vie.
Naïf et insouciant, le jeune lionceau envisage sa souveraineté comme un véritable paradis sur Terre. Mais les vices du monde réel et la cruauté de son oncle Scar, bouleverse sa destinée… Il pourra compter sur son courage et sa détermination, l’amour et l’amitié pour siéger à l’unique et seule place qui lui est réservée.
Après Le Livre de La Jungle, Maléfique ou encore plus récemment Aladdin, c’est au tour de l’un des plus célèbres dessins animés Disney de sortir en salles en version live.
Pourquoi faire le remake d’un chef d’oeuvre vieux de vingt ans ?
Financièrement parlant, on comprend rapidement l’intérêt de ce dernier. En effet, Le Roi Lion est le deuxième plus gros succès au box office de tous les temps, après Toy Story 3. 900 millions de dollars de recettes mondiales, 10 millions d’entrées en France : il est clair que Disney tient ici une petite pépite.
Jon Favreau, le réalisateur, sait que son pari est risqué et que d’énormes attentes pèsent sur lui. Il promet de faire du neuf, tout en restant fidèle à l’oeuvre originale.
Au casting voix françaises, on retrouve de grands noms du cinéma : Jamel Debbouze (Timon), Rayanne Bensetti (Simba adulte), Alban Ivanov (Pumbaa), Sabrina Ouazani (Shenzi), Anne Sila (Nala adulte) et surtout Jean Reno (Mufasa). On ne peut qu’applaudir et apprécier ce choix final….comment se passer de la voix rauque et puissante de Jean Reno….
Les questions environnementales, de la protection animale, du deuil auront probablement un écho plus fort aujourd’hui, qu’à l’époque avec nos yeux d’enfant.
Nul doute qu’une vive émotion nous attend en salles le 17 juillet.
Simba, nous sommes prêts à assister à ton ascension ! Rooooaaaaaaaarrrrr !
Fille cachée de Piper Halliwell, il m’arrive de regretter de ne pas avoir hérité de son premier don, pour assouvir mes addictions, qui se résument en quelques mots : le binge watching sur Netflix et autres plateformes de perdition sérielles, dévorer les derniers Hoover/Martin Lugand/Ledig, rattraper mon retard monstrueux dans la Bollywoodsphere et enfin écrire !
Dans mes textes vous retrouverez : un brin d’humour, un zeste de passion et beaucoup de curiosité ! Et mais, ne frôlerait-on pas un huitième du génie d’Astier ? (Okay. Un centième ?).
2 commentaires
Anaïs
Merci pour votre remarque.
Effectivement, vous avez raison. Je vulgarise le mot « live », j’aurais dû spécifier la technologie utilisée ici. La CGI, soit l’imagerie de synthèse 🙂
Snake Plissken
Étrange… l’article signale, dans son titre et dans le corps du texte, que le film est « en live ».
Êtes-vous certaine·s de cette affirmation ?
Je ne suis pas sûr·e qu’il s’agisse d’une bobine en « live action »…
… peut-être faut-il donner aux lecteurs·trices les contours de ce que cette technique de numérisation signifie ?